Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les appétences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une inspiration lente, une routine apparue d’un acte ancestral répété à chaque instant. https://juliusblswb.free-blogz.com/81474291/la-matière-qui-soutient