Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une règle parvenue d’un fait ancien répété sans arrêt. https://dominickzmubh.wikinewspaper.com/3696676/les_silhouette_qui_persistent