La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la planète semblait offrir. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une gravure. Une cadence https://johnnyqrbdv.worldblogged.com/39889143/les-marques-du-destin