Dans l’atelier feutré d’un tailleur parisien, les aiguilles glissaient avec une minutie méticuleuse sur les étoffes de soie et de laine. Chaque haute couture était un serment silencieux, chaque cours tissé une rendez-vous faite à celle qui porterait le habit. Pourtant, depuis quelque générations, des éléments troublait l’artisan. Il avait https://martinezrgv.sharebyblog.com/33677510/les-fils-du-signe