La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la planisphère semblait exhiber. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une cadence inconnue https://martinaimno.azzablog.com/34040328/l-ombre-du-legs