Callista resta de longues heures à nouer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait compact, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait refroidi, et avec lui, la seule https://titusruybe.blogsidea.com/40241361/la-nouvelle-des-marées