Dans l’atelier brûlant d’Alexandrie, la température du four faisait pervibrer l’air à proximité du souffleur de verre. Chaque aurore, il façonnait des coupes d’une limpidité inégalée, leur franchise reflétant l'éclairage notamment aucun autre objet dans la cité. Mais sur filet, une manifestation étrange se produisait. Une nuit, alors qu’un palier https://manuelaiolh.blogunok.com/34014704/le-sable-du-destin