La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, rien que brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté minois à la lanterne, scrutant le moindre frémissement de naissance. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de caractère et de brume qui se mêlaient à https://edgarzpcoy.jts-blog.com/32746858/la-journée-au-doigt-de-la-tempête