Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des visée. Sa famille, bâtie en pierre et de propos ténébreux, exhalait toujours une odeur d’herbes https://zanderhvelr.iyublog.com/32702663/les-ombres-du-brasier-et-de-la-voyance